Echantillonner et syntoniser les vibrations

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Mixer : verbe transitif. Enchaîner des contenus multimédias, en les déformant (changement du tempo, filtrages audio & vidéo, bouclage, etc.) et en les superposant, pour proposer une continuité et une progression permettant de dévoiler l'émotion de l'interférence.

De l'émotion unitaire et isolée...

Les ondes me permettent d’exprimer l’émotion. Ma vie est accompagnée chaque jour par celles de créateurs dont le flow m’inspire. Par assemblage, je génère un nouveau signal pour me porter sans discontinuité.

Etape 1 : Rencontrer les oeuvres

Etape 2 : Assembler et enregistrer

L’art où synchronisation rencontre synchronicité

Etape 3 : Monter et Publier

Packager le produit final

La couleur qui est vibration de même que la musique

… au récit de voyages atemporels​

Mettre en vie et capturer l’émotion de l’assemblage dans l’instant pour proposer ces voyages sensoriels témoignant de mes périples et susceptibles d’agir sur votre inconscient.

La juste syntonisation est un équilibre instable et éphémère.. c'est cette quête de pureté qui me pousse à l'exercice. Mes mix viennent d'un long processus de maturation et de mutation, chaque opus est une tranche de vie et délivre désormais un message.

Laissez-vous envoûter !​

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PJ.Laz'R, une passion pour la deep !

Le point de départ de cette aventure autour de l’assemblage de sons a débuté tout simplement par la possibilité d’écouter lors des trajets les morceaux qui me procuraient des émotions.

Les premiers enregistrements s’opèrent donc sur K7 en copiant depuis d’autres K7 ces morceaux… les technologies évoluent me voila à copier des sons CD vers le support MD.

J’acquière vers les années 2000 le lot d’une table de mixage et d’un double lecteur CD avec CUE et pitch, l’aventure était lancée.

Le matériel évoluera durant les années d’école d’ingénieur où les animation de soirée me permettront d’acheter des vinyles en masse.

En 2018, je me remets en piste au travers de la deep house et de sons qui m’appellent à des exercices méditatifs et aux trans durant l’exercice live.

Tout a commencé en septembre 1999… Armand Van Helden venait de sortir en France son album 2future4U. Une révélation pour le petit étudiant que j’étais. Un vendredi soir, particulier puisqu’après avoir acheté ce disque et avoir écouté une bonne quinzaine de fois le fameux « you don’t know me » nous partions à « l’Enfer » pour une soirée club à bord de la focus toute neuve. Le bonheur était dans les esprits, fenêtres ouvertes, nous étions heureux… Nous étions aux vestiaires, sur le point de partir, lorsque nous entendîmes la rythmique du morceau venant du bas de l’escalier. 5minutes de pure bonheur sur le dancing. Le premier 33 tours a été Modjo Lady.

Cela se prononce ‘péjilazaire’ mais pour l’historique, plusieurs points sont à développer:

  • Un ami de classes prepa. en 1999 m’indique que le fils de Robocop avait pour héros un dénommé « TjLazer »
  • A cette période un autre ami avec lequel nous échangeons des sons me cherche un nom de « DJ » et me fait remarquer que mes initiales sont « PJ »
  • le coté « Lazy » est associé à mes périodes d’ermite nécessaires à mon introspection et processus de création
  • Enfin l’apostrophe R ajoute la dynamique du « live » et de l’instant

La house puise ses influences directement dans la musique noir-américaine. Dans les années 70 un courant étranger au rock sert de base à la house moderne: le phénomène disco. Musique purement commerciale et se revendiquant comme telle, le disco voit le jour à Munich en 74 – 75 avec Gorgio Moroder qui imagine un langage musical linéaire et répétitif, connoté sexuellement et s’articulant autour de basse syncotées héritées du funk.

Le disco developpe le principe du remix qui permet d’étirer un morceau à volonté. En 1976 « Love to love your baby » du tandem Moroder/Donna Summer devient un tube planétaire. Le disco explose dans les discothéques gay et célebre le sexe, le plaisir et la danse. C’est l’époque de l’ouverture de grands clubs mythiques:le palace à Paris, le heaven à Londres, le studio 54 ou le paradise garage à New york.

C’est au sein paradise garage club que le disco se transforme progressivement en garage (premier dérivé et forme vocale de la house) gràce à son fameux dj: Larry Levan. En 1982, l’appellation disco céde la place au Hi-Nrg: une fusion des mélodies avec un son résolument synthétique et quelques éléments disco caractéristiques. En 1985, un dj du club Warehouse à Chicago, Frankie Knuckles, va inogurer une nouvelle façon d’utiliser les disques, puisqu’en plus de les enchainer, il va prendre le parti de les mixer ensemble, utiliser le sampling et finalement donner naissance sans le savoir à la house. « And house music was born » scande alors Fingers Inc (aka Larry Heart).

La deep house est un sous-genre musical de la house, largement lancée par des producteurs originaires de Chicago comme Marshall Jefferson (On the House) et Larry Heard (Mr. Fingers), et grâce à des titres comme Mystery of Love (1985) et Can You Feel It (1986)

La deep house est connue pour sa mélodie complexe, son utilisation d’accord chromatique et d’éléments soul, ambient, ou lounge avec une ligne de basse souvent en syncope. Dans les premières compositions (1988–1989), le genre est fréquemment inspiré du jazz. L’usage de chants de la deep house devient plus fréquent par rapport à d’autres formes de musique house

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